Brandon W.
Member
- Joined
- Aug 25, 2009
- Messages
- 42
- Reaction score
- 0
- Points
- 6
Hey gentlemen, take a look at the Saturday edition of La Presse (17 December). Front-page article on massage therapy in Montreal "with or without extras".
Two male journalists sample 10 MPs and feign shock at the availability of hand jobs in them. As though someone in Montreal didn't know, or anyone cared.
But these guys got their employers to pay them to get relaxed at least, so I guess they had to produce something with the expected righteous tone. As though there were only one kind of massage that's legit.
More stories in this series of shocking exposés in the section Actualités.
Even the LE representatives they interviewed said that unless they get a complaint or suspect under-age employees, they leave the places alone. The last paragraph explains that it's legal.
What a pseudo-story. Kind of amusing, really. The kind of story you'd expect to find in some small-town newspaper in Stephen Harper's home town maybe. Or maybe Macon, Georgia or somewhere down in the bible belt. But in Montréal?
Still it may have a temporary impact on MP hassles and paranoia. Or it may induce a pre-Christmas rush by clients? See URL below, FWIW. (In French, obviously)
Him Eros
------------------------
Le samedi 17 déc 2005
Massothérapie avec ou sans extra?
http://www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/article?AID=/20051217/CPACTUALITES/512170394/1019/CPACTUALITES&template=printart&print=1
Nicolas Bérubé
Hugo Meunier
Montréal
Des dizaines de salons de massothérapie établis dans tous les quartiers de la ville offrent des services sexuels à leurs clients, des hommes dans la majorité des cas, a découvert La Presse, qui a fait enquête auprès d'une cinquantaine de ces établissements ...
En toute légalité
Il faut dire que même la police a de la difficulté à évaluer le phénomène puisqu'elle n'a pas les salons de massothérapie à l'oeil. Le commandant Alain Thibault, responsable du module alcool, stupéfiants et moralité pour le centre-ville de Montréal, explique que ce sont souvent les plaintes du public qui déclenchent des opérations policières dans les salons de massothérapie. Sans plainte, bien souvent, la police ne trouve pas matière à enquête.
« Par exemple, des gens du voisinage se plaignent d'un va-et-vient inhabituel. Alors on peut aller enquêter et voir s'il s'agit d'une maison de débauche. On peut aussi enquêter si on a des raisons de croire que des mineures travaillent dans tel ou tel salon. Sinon, on tient pour acquis que les studios de massage sont conformes à la loi et au permis d'occupation délivré par l'arrondissement. »
Au Canada, un salon de massothérapie où l'on dispenserait à l'occasion des services sexuels serait tout à fait légal. C'est le côté systématique de l'affaire qui fait de ces salons des maisons de débauche, affirme l'avocat Nicolas Bellemare, spécialisé en droit criminel. « Au Canada, la prostitution n'est pas un crime. Ce qui est interdit, c'est de tenir une maison de débauche et de faire de la sollicitation dans la rue. »
Two male journalists sample 10 MPs and feign shock at the availability of hand jobs in them. As though someone in Montreal didn't know, or anyone cared.
But these guys got their employers to pay them to get relaxed at least, so I guess they had to produce something with the expected righteous tone. As though there were only one kind of massage that's legit.
More stories in this series of shocking exposés in the section Actualités.
Even the LE representatives they interviewed said that unless they get a complaint or suspect under-age employees, they leave the places alone. The last paragraph explains that it's legal.
What a pseudo-story. Kind of amusing, really. The kind of story you'd expect to find in some small-town newspaper in Stephen Harper's home town maybe. Or maybe Macon, Georgia or somewhere down in the bible belt. But in Montréal?
Still it may have a temporary impact on MP hassles and paranoia. Or it may induce a pre-Christmas rush by clients? See URL below, FWIW. (In French, obviously)
Him Eros
------------------------
Le samedi 17 déc 2005
Massothérapie avec ou sans extra?
http://www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/article?AID=/20051217/CPACTUALITES/512170394/1019/CPACTUALITES&template=printart&print=1
Nicolas Bérubé
Hugo Meunier
Montréal
Des dizaines de salons de massothérapie établis dans tous les quartiers de la ville offrent des services sexuels à leurs clients, des hommes dans la majorité des cas, a découvert La Presse, qui a fait enquête auprès d'une cinquantaine de ces établissements ...
En toute légalité
Il faut dire que même la police a de la difficulté à évaluer le phénomène puisqu'elle n'a pas les salons de massothérapie à l'oeil. Le commandant Alain Thibault, responsable du module alcool, stupéfiants et moralité pour le centre-ville de Montréal, explique que ce sont souvent les plaintes du public qui déclenchent des opérations policières dans les salons de massothérapie. Sans plainte, bien souvent, la police ne trouve pas matière à enquête.
« Par exemple, des gens du voisinage se plaignent d'un va-et-vient inhabituel. Alors on peut aller enquêter et voir s'il s'agit d'une maison de débauche. On peut aussi enquêter si on a des raisons de croire que des mineures travaillent dans tel ou tel salon. Sinon, on tient pour acquis que les studios de massage sont conformes à la loi et au permis d'occupation délivré par l'arrondissement. »
Au Canada, un salon de massothérapie où l'on dispenserait à l'occasion des services sexuels serait tout à fait légal. C'est le côté systématique de l'affaire qui fait de ces salons des maisons de débauche, affirme l'avocat Nicolas Bellemare, spécialisé en droit criminel. « Au Canada, la prostitution n'est pas un crime. Ce qui est interdit, c'est de tenir une maison de débauche et de faire de la sollicitation dans la rue. »